Heureusement, d'ailleurs, que l'on ne vous a pas laissé saborder la Caisse des Dépôts et Consignations ou la Banque Postale, comme vous vous apprêtiez à le faire juste avant la crise financière – quelles solutions auriez-vous aujourd'hui ?
Des sommes significatives doivent être consacrées à ce fonds, c'est-à-dire, comme l'a dit M. le président de la commission des finances tout à l'heure, bien davantage que les vingt milliards annoncés la semaine dernière. L'ambition est en effet bien pâle, comparée au fonds d'Abou Dabi, doté de 720 milliards d'euros, ou à celui de la Norvège, riche de quelque 390 milliards de dollars.