Beaucoup de pays l'ont compris ; les États-Unis, l'Allemagne, la Chine ou le Japon, qui ne sont pourtant pas épargnés par la crise, élaborent de véritables stratégies de puissance.
Ces exemples ne font que mettre en évidence le non-dit industriel de l'Union européenne, concurrencée à la fois par un pôle de haute technologie – États-Unis et Japon – et par un pôle de pays où les coûts sont bas ; de surcroît, nous assistons à une montée de gamme progressive des nouvelles économies émergentes, comme la Chine.
Face au basculement dans le vide du système ultra-libéral, nous ne pouvons nous contenter de coller des rustines.
Oui, il fallait sauver les banques d'une faillite annoncée du crédit…