Telle est votre logique. D'ailleurs, même si vous n'en parlez plus – non plus que Nicolas Sarkozy ne parle des crédits hypothécaires que, il y a un an et demi, il voulait importer des États-Unis car, après le bouillon que vous avez bu, ce n'est pas très porteur –, vous vouliez dépénaliser les délits économiques. Et, pour en revenir au Président de la République, lorsqu'il nous a reçus il y a deux semaines, il n'a pas dit qu'il fallait interdire les paradis fiscaux, les parachutes dorés, ni supprimer les stock-options, les bonus et autres cadeaux que vous faites aux privilégiés avec d'autant plus d'ardeur qu'ils réduisent l'emploi, comme M. Carlos Ghosn.
Quand au G 20, pour oser vous en féliciter…