Il s'agit, à la première phrase de l'alinéa 3, après le mot « environnement », d'insérer les mots : « , en particulier des milieux aquatiques ».
En effet, il convient d'insister sur les milieux aquatiques, la plupart du temps totalement oubliés. Si l'impact des transports fluviaux sur ces milieux est direct, on néglige très souvent le fait que tous les effluents – comme les huiles de moteur – générés par les modes de transport implantés en fond de vallée finissent dans les rivières. Et encore, je n'évoque pas le salage des routes.