Chers collègues, ce matin, de retour dans l'hémicycle, après avoir présidé la commission des affaires économiques pour l'examen du projet de loi mettant en oeuvre le Grenelle de l'environnement, je vous ai entendu parler de substitution. C'est encore le cas en cette fin d'après-midi. Je ne résiste donc pas à l'envie de vous lire ces quelques lignes : « Il existe une troisième inquiétude de certains : l'épargne salariale ne pourrait prospérer qu'au détriment des salaires. Je ne crois pas que cette crainte soit fondée, ce serait en effet négliger les salariés eux-mêmes qui précisément, comme vous le savez, géreront les fonds, et la force de ceux qui y souscriront. »