Je voulais simplement dire, monsieur le président, que j'avais reçu de Mme Mazetier un mot par lequel elle m'exprime ses regrets quant au fait que j'aie pu considérer qu'elle parlait de ma vie privée, et non de ma vie professionnelle. Je vous en donne acte, madame la députée, et l'incident est donc clos.
J'ajoute, monsieur de Rugy, que je ne conteste évidemment à personne le droit de débattre de l'école : j'ai simplement contesté le droit de mettre en cause la vie des personnes qui s'intéressent à ce sujet, ce qui est tout à fait différent. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire et du groupe Nouveau Centre.)