Au contraire, la démonstration a été faite que le projet de loi respectait le principe de libre administration des collectivités territoriales, ne serait-ce que par l'article 8, qui fixe le niveau des ressources que les communes recevront en contrepartie de leur intervention.
De même, s'agissant du droit de grève, les mécanismes prévus – l'obligation de négociation préalable et celle, pour les grévistes, de se déclarer individuellement – ont été jugées conformes à notre loi fondamentale par le Conseil constitutionnel, et ce pas plus tard que l'an dernier.