Sur tous les bancs de cette assemblée, et en tout cas à l'UMP, nous voulons participer à ce mouvement de réforme. Mais nous vous demandons de reconnaître le pouvoir d'évaluation du Parlement. Nous y sommes revenus à plusieurs reprises dans cet hémicycle. Avec le président Migaud et avec d'autres collègues siégeant sur tous les bancs, nous vous avons dit combien nous étions prêts à participer, mais le Parlement a le droit d'être destinataire des évaluations et des études d'impact réalisées par le Gouvernement. C'est la moindre des choses, si nous voulons être efficaces, comme c'est évidemment votre objectif, monsieur le ministre.
Et là, j'en viens aux collectivités locales, puisque je vois que beaucoup sourient, à ma gauche.