Sachez bien que nous regrettons tous d'avoir à passer beaucoup plus de temps à nous défendre qu'à construire. Nous croyons en nos territoires, mais nous ne trouvons dans les mesures que vous annoncez aucun encouragement pour toutes celles et tous ceux qui, au quotidien, et quelle que soit leur appartenance politique, n'ont qu'une ambition : celle d'une gestion rigoureuse au service de leurs concitoyens et du développement.
Monsieur le ministre, je préside la commission nationale des territoires ruraux au sein de l'Association des maires de France. J'écoute, j'entends ce que disent les élus et, bien entendu, comme c'est mon rôle, je suis là pour vous en faire part. Nous souhaitons de votre part un discours lisible sur l'avenir. Nous voulons vraiment connaître vos intentions.
Il a fallu un an, monsieur le ministre, pour nommer un secrétaire d'État chargé de l'aménagement du territoire !