Il y a loin du discours aux actes. On nous dit que l'on nous aime, mais on ne nous le prouve que très rarement.
Vous parliez des zones de revitalisation rurales. En ce qui les concerne, monsieur le ministre, nous n'avons qu'un souhait : qu'on les supprime un jour parce que devenues inutiles. Or, si elles ont été créées, c'est qu'elles répondaient à une évidente nécessité.