D'un côté, vous dites que les stock-options disparaissent, mais de l'autre, quand il s'agit de les soumettre à cotisation, le discours devient : « On ne sait jamais, il pourrait y avoir des Français qui vont toucher plus d'un million d'euros de bonus » – et nous savons qu'il y en a – « il n'est pas question de les pénaliser ! »