Monsieur le président, je trouve affligeant l'état d'esprit avec lequel certains de nos collègues abordent un débat qui mériterait d'être apaisé. Je demande donc une suspension de séance pour que notre assemblée retrouve un peu de sérénité. Nous parlons du pluralisme dans la vie politique française, chers collègues du groupe socialiste, et l'agitation que vous manifestez me paraît préjudiciable à la qualité du débat. (Vives protestations sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)