Interventions de Henri Jibrayel

Mesdames, nous vous remercions pour l'excellence de vos analyses.

Je vous remercie pour vos propos mais vous n'avez pas du tout évoqué l'éducation par les parents

Mes chers collègues, nous reprenons nos auditions en recevant Mme Maryvonne Chapalain, commandant fonctionnel à la Délégation aux victimes, qui représente la police nationale et que nous avons déjà entendue dans le cadre d'une table ronde consacrée à l'accueil des victimes , ainsi que Mme Karine Lejeune, capitaine, au titre de la gendarmerie...

Où en est-on de l'avancée des logiciels ICARE et ARDOISE ?

Il y a tout de même matière à étude, avec plus de 40 000 faits de violences répertoriés chaque année ! Il faut en tout cas que nous disposions d'outils. Est-ce le système ARDOISE qui sera le plus performant ?

Peut-on espérer une bonne harmonisation entre la police et la gendarmerie ?

Abordons maintenant la formation des fonctionnaires de police et de gendarmerie en matière d'accueil des femmes. Quel est à cet égard votre sentiment, sachant que vos collègues que nous avons auditionnés nous ont fait part d'avis divergents ?

Face à un tel sujet, pensez-vous que deux heures soient suffisantes ?

Dans une compagnie de gendarmerie ou dans un commissariat, un fonctionnaire sera-t-il plus formé que les autres à cette problématique ?

Existe-t-il dans la police un système de formation comparable à celui de la gendarmerie, notamment en matière de formation continue ?

Bien que la main courante ait évolué, elle n'est toujours pas prise en considération par le Parquet.

Il y aurait donc une disparité selon les parquets.

C'est une exception.

À la fin de son audition, le procureur de Marseille, m'a dit en aparté qu'il fallait abolir la main courante. Il y aurait donc deux écoles.

Laquelle n'empêche pas le retour de la victime au domicile conjugal et parfois sa mort.

Comment font les gendarmes qui ne prennent pas de main courante ?

Peut-être faut-il aussi inciter la victime à porter plainte ?

Parlez-nous maintenant des partenariats.

Mesdames, nous vous remercions pour la qualité de vos informations et l'excellence de vos travaux.

Nous accueillons à présent la direction du Relais de Sénart, représentée par Mme Nicole Blaise, directrice, Mme Hanitra Andriamandroso, chef de projet, et Mme Renée Marc, chargée de mission M. Salah Belarbi, président, n'ayant pu se joindre à nous. Si nous avons souhaité vous entendre, c'est parce que, au-delà de votre activité d'accueil et ...