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Ces 700 000 milliards représentant douze années de PIB, il est forcé que des bulles se créent...
Je crois qu'il nous reste à vous remercier.
Quelle est votre position sur ce dernier sujet ?
N'est-on pas entré dans l'aberration ?
La place avait un rôle de régulation.
Monsieur Gruffat, merci beaucoup. La séance est levée à dix-huit heures quarante.
Madame, je vous remercie d'avoir répondu l'invitation de la Commission d'enquête. Vous êtes professeur à l'Université Paris II-Panthéon-Assas, où vous dirigez le master 2 « Finance ». Vous exercez par ailleurs des activités de consultante auprès d'établissements bancaires et financiers notamment la Banque de France et d'entreprises de march...
C'est-à-dire qu'ils ont relevé le niveau de fonds propres exigé ?
Cela ne risquerait-il pas de réduire le crédit ?
Probablement parce que le client reste captif jusqu'au remboursement du crédit, soit pendant au moins vingt ans, et que les banques bénéficient de la garantie hypothécaire.
Madame Lubochinsky, notre collègue n'exprime qu'un point de vue, qui n'engage pas la commission !
Mon cher collègue, votre question ressemble fort à une théorie ! Je sais bien que certaines personnes soutiennent que la crise financière est due à la régulation, mais elles sont très minoritaires.
C'est la position du Tea Party !
Pour l'heure, cela ne concerne que quelques opérateurs dont tout le monde se demande à quoi ils servent !
Monsieur Gorges, les régulations ne sont pas apparues spontanément : à chaque fois, elles ont fait suite à une catastrophe financière.
Ou que cette crise ne se reproduise.
Durant la dernière crise, contrairement à celle de 1929, on n'a pas vu des banquiers sauter par la fenêtre !
Sans parler des conséquences politiques !
Précisément : on a sauvé les banques.
Il existe pourtant de la spéculation sur les monnaies !