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Oh oui !
Speak french !
Vous êtes en train de faire déraper le débat. Ce n'est pas malin !
Mais vous l'avez dit ! Vous avez gagné : nous voterons contre ce texte !
Nationaliste ! (Sourires.)
Ah oui ?
Ça fait quinze ans que vous vivez là-dessus !
C'est la société de défaisance qui nous a coûté le plus cher !
Mais vous ne voulez justement pas déconnecter !
C'est parce que l'on a donné la main aux marchés !
Bravo !
Cela explique pour partie la faible croissance !
Qu'est-ce qui lui prend ? (Sourires.)
Au contraire, il faut le laisser parler ! Ce qu'il dit est très bien !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, pour ne rien vous cacher, j'ai préféré le ton adopté par le ministre à la tribune à celui employé par le rapporteur général. Le ministre m'a semblé plus mesuré.
Il est d'autant plus gênant de faire le genre de remarques qui furent les vôtres que les dates que vous avez citées étaient fausses. Je remercie Jean-Pierre Balligand d'avoir rétabli les choses en rappelant un certain nombre d'évidences qui semblent avoir échappé à beaucoup. Monsieur le ministre, vous avez dit ne pas comprendre notre position...
C'était il y a longtemps. Au passage, monsieur de Courson, sachez que les socialistes n'ont aucun mal à voir un socialiste présider une banque nationalisée. Je vous remercie d'avoir lancé un appel à l'Internationale bancaire en réponse à ce cher tonton Marx mais, à l'évidence, il y a une légère confusion. (Sourires.) Vous ne comprenez pas not...
Chère madame, ce n'est pas moi qui en ai parlé : je ne fais que répondre, puisqu'on nous a expliqué que notre position était dictée par la primaire. Ce n'est pas le cas. Elle est plutôt dictée par l'incompréhension et l'exaspération de l'opinion publique. Nos concitoyens ont désormais la certitude que les politiques ont perdu la main et que ce...
Si ce n'est pas au jour le jour, c'est à très court terme, vous le savez bien ! Le ministre lui-même a cité le chiffre de 260 milliards d'euros. Cela donne la mesure de la perte de contrôle des autorités politiques, quelles qu'elles soient, sur le système financier. Nous ne contrôlons plus grand-chose. La commission d'enquête sur la spéculatio...
Où est le pouvoir ? Le Gouvernement et la majorité auraient intérêt à donner quelques signes forts pour indiquer où est le pouvoir et à dire à l'opinion publique que, lorsque des dirigeants sont responsables d'une telle catastrophe, ils ont au moins le devoir de rendre les sommes qu'ils ont indûment encaissées. Je ne reprendrai pas le plaidoyer...