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Monsieur le président, j'aide M. Chartier !
Soit 4 milliards d'euros !
Le Luxembourg, par exemple !
Non, je ne les connais pas !
Mes chers collègues, je vous trouve cruels. Un peu de compassion ! L'exercice que l'on demande à M. Chartier n'est pas facile. Il fait ce qu'il peut !
Nous vivons une semaine exceptionnelle. D'abord, notre pays va sortir d'un suspens écrasant, lourd
Nous risquons en effet d'apprendre que M. Sarkozy serait candidat à la présidence de la République. Rendez-vous compte !
Cela ne me dérange pas, monsieur le président.
Monsieur le président, laissez-les me supporter !
Et comme si la sortie de ce suspens ne suffisait pas, nous allons assister à un miracle : nous allons connaître la hausse de la TVA qui n'a pas d'incidence sur les prix Ce sera une première nationale, même internationale : comme disait l'autre, un championnat du monde et des environs !
En Allemagne, madame la ministre, il y a eu une hausse des prix.
Franchement, madame la ministre, je me demande pourquoi vous continuez à parler français, tellement vous êtes obnubilée par l'exemple allemand ! Cela en devient obsessionnel !
Tout cela n'est pas très sérieux. J'ai vécu beaucoup de moments dans cet hémicycle, et depuis bien des années, mais j'avoue que je n'avais encore jamais vu faire voter une aussi grande réforme qui ne devait prendre effet qu'après l'élection présidentielle.
Fin 2001 ? Laquelle ?
On était loin d'une hausse de la TVA !
D'habitude, les ministres n'interrompent pas l'orateur. Mais je comprends que vous soyez à cran, madame la ministre, car l'exercice que l'on vous demande n'est pas facile.
Mais je voudrais m'adresser à M. Charles-Amédée de Courson à propos de la taxe Tobin, qui lui a permis d'ironiser, par deux fois, sur les taxes que l'on vote à taux zéro. S'il avait un peu de mémoire, M. de Courson se souviendrait que la France n'était pas la première à faire cela puisque le Canada nous avait précédés. À l'époque, il s'agissai...
Si !
Vous pouvez vérifier. C'est pourquoi nous avons beaucoup ri quand M. Sarkozy a proposé au vote du Parlement une taxe sur les transactions financières alors qu'il lui aurait suffi de donner un ordre à M. Fillon il en a l'habitude , pour que celui-ci prenne un décret et active la taxe déjà votée depuis 2001. Mais cela semble vous avoir échappé...
c'est au mieux un quart de l'impôt de bourse britannique.