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Vous ne pouvez donc recourir à cet argument. Comme pour l'obésité, en utilisant des arguments de santé publique, on aboutit à un débat surréaliste.
Certes, nous avons besoin d'argent. Certes, vous avez fait le choix de taxer certains alcools plutôt que d'autres pour des raisons qui vous appartiennent et nous les respecterons, mais, de grâce, n'instrumentalisons pas la santé publique.
Et ce n'est pas fini !
Drôle de rappel au règlement !
Fondé sur l'article 58, vraiment ?
Pauvres podologues ! (Sourires.) (L'amendement n° 34, accepté par la commission, est adopté.) (L'article 29, amendé, est adopté.)
On ne répond pas à un rappel au règlement !
C'est vrai.
Je voudrais revenir un instant sur l'amendement de suppression proposé par le parti socialiste. En effet, je lis la bible du parti socialiste,
c'est-à-dire le livre du futur ministre de la santé socialiste autoproclamé, qui écrit, page 123, à propos de l'instauration d'une tarification à la qualité : « Le mode de financement de l'hôpital doit être revu pour remédier aux effets pervers de la TAA. Il faut tendre vers une tarification, non plus uniquement à l'activité, mais également à ...
en demande et l'écrit même expressément !
M. Mallot fait toujours dans la nuance !
Ah bon ? Allez donc voir ce qu'il en est en Italie ou en Grèce !
Je précise qu'il n'y a pas non plus de casino dans ma circonscription. Dans ce domaine comme dans d'autres, nous avons le double souci de la santé publique et de la fiscalité. Il existe une addiction aux jeux, comme il en existe une à l'alcool. Nous aurons à déterminer l'importance de l'une et de l'autre. Je crois que M. Rolland souhaitait no...
Très bien ! (Les amendements nos 123 et 147 sont retirés.)
Mieux vaut rechercher des recettes que des dépenses !
À marche forcée, l'expression est exagérée !
Nous les assumons parfaitement !
Très bien !
On ne persifle pas, monsieur Préel.