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On peut effectivement regarder par le petit bout de la lorgnette et, partant du droit à l'accueil, tel qu'il est clairement défini dans ce projet, disséquer l'ensemble du système éducatif, égrener les reproches
ou, au contraire, valoriser tel ou tel aspect. Mais ce n'est pas l'objet du projet de loi. La réalité, c'est que dans l'immense majorité des cas, en cas d'absence inopinée et totalement impossible à remplacer, une prise en charge des enfants est assurée de fait ce à quoi personne ne trouve à redire. Mais en cas d'absence non prévue, et nota...
Les parents ne savent pas, alors, ce qu'ils vont pouvoir faire de leurs enfants pendant la journée. L'objet du texte est donc simple : il consiste certes à affirmer que, pour l'État, l'enjeu majeur reste d'assurer la continuité de l'enseignement, mais aussi à garantir aux familles que dans le premier degré comme c'est le cas dans le second ,...
..cela n'aura aucune incidence et n'empêchera pas la majorité de soutenir le Gouvernement en adoptant ce texte clair et responsable qu'attendent nos concitoyens. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Il n'y a pas de problème !
Ce n'est pas casser le droit de grève, c'est respecter les familles !
Absolument !
Le droit de grève n'est pas un droit de prise en otage !
On est dans le premier degré, pas dans le second !
Très bien !
Je voudrais réagir à l'intervention de Mme Mazetier parce que, derrière ses propos, il y a une fois de plus la volonté d'opposer enseignement public et enseignement privé, et c'est totalement insupportable.
Je tiens à le dire tranquillement mais avec force, dans notre pays, jusqu'à plus ample informé, et personne, pendant les quinze ans de gouvernement socialiste ne l'a vraiment remis en cause, il y a un service public de l'éducation nationale qui comprend l'enseignement public et l'enseignement privé sous contrat. (« Très bien ! » sur les bancs d...
Non !
Très bien !
Surtout pas !
Ces propos sont plus une affirmation qu'une démonstration !
Je suis frappé par la fragilité de l'argumentation de nos collègues de l'opposition. Passons, madame Mazetier, sur la différence que vous faites entre l'État et l'éducation nationale : cette différence n'a pas de sens, car il est bien évident que, lorsque l'on parle de l'État dans ce texte, il s'agit de l'éducation nationale. Vous avez indiqué...
J'adhère totalement à l'amendement et au sous-amendement, qui me donnent l'occasion de revenir sur nos interrogations. En cas de grève, de quel droit, égal sur tout le territoire national, nos concitoyens doivent-ils pouvoir bénéficier au regard de la prise en charge de leurs enfants ? La scolarité ou l'accueil de leurs enfants doivent être ass...
Je souhaitais rassurer pleinement Mme Mazetier sur l'objectif que cet amendement prétend atteindre. Il existe au sein du comité des finances locales, dont sont membres un certain nombre de parlementaires de notre assemblée, une structure interne chargée de rédiger régulièrement un rapport sur les relations entre l'État et l'ensemble des collec...