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Dans le cadre de la réunion du groupe d'amitié France-Vietnam, un professeur de français, qui travaille dans un des lycées d'Hô-Chi-Minh-Ville, m'a expliqué que les moyens manquaient pour former les enseignants. Il souhaiterait que la formation des maîtres soit mieux accompagnée, en particulier sur le plan pratique. L'ambassadeur de France au V...
Mais les jeunes qui ont fait le choix d'apprendre le français sont moins nombreux que ceux qui apprennent l'anglais. En outre, alors que de nombreuses entreprises françaises sont présentes à Hô-Chi-Minh-Ville, nos étudiants ne les connaissent pas.
Absolument !
Dans le paysage politique et administratif kosovar, à quoi correspondent les opstine ? À des communes ? Quels sont leurs rapports avec l'État central ? Pour vous, s'agit-il d'interlocuteurs incontournables ?
Quel béni-oui-oui !
Ça suffit !
C'est formidable !
C'est scandaleux !
Quelle honte !
Y a-t-il adéquation entre les stipulations de ce traité et les dispositions du projet de loi favorisant la diffusion et la protection de la création sur internet, que notre Assemblée vient d'adopter ?
Je tiens à associer à cette intervention tous mes collègues du Pas-de-Calais, Jacqueline Maquet et Odette Duriez entre autres. Monsieur le ministre, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, si le député de Calais intervient à cette tribune, ce n'est pas pour dire que le délit de solidarité ne concern...
Bien sûr ! Si j'en crois le Figaro Magazine du 18 avril 2009, vous avez aussi dit que, l'an dernier, 4 500 personnes avaient été interpellées sur la base de l'article L. 622-1 des passeurs, trafiquants et complices et que 1 000 d'entre elles avaient été condamnées, mais aucun humanitaire, car la loi ne les vise pas. Ce sont les chiffres qu...
pas toujours avec l'humanité nécessaire, au nom du délit de solidarité.
C'est à ces 3 500 personnes que notre proposition de loi s'intéresse. Parmi toutes ces personnes, dont je ne connais ni la qualité ni la fonction, je suppose qu'il doit y avoir quelques bénévoles. J'en connais deux, dont Jean-Claude Lenoir à qui vous avez rendu hommage à Calais. Ces deux-là, en revanche, ont été condamnés ces dernières années.
Mais le tribunal a considéré qu'il y avait une forme de compassion dans le délit commis et ils ont été dispensés de peine. Mais ce qu'on ne dit pas « On ne nous dit pas tout », comme dit l'humoriste Anne Roumanoff , c'est que pendant les dix-huit mois de l'instruction de leur affaire, on leur a retiré carte d'identité et passeport, qu'ils n'...
Ainsi, pendant trente-six mois, ils ont été placés dans une situation ubuesque : ils étaient des sans-papiers en France et des interdits de séjour à l'étranger. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Monsieur le ministre, je vous confirme que notre proposition concerne les 3 500 personnes qui n'ont rien eu à voir avec la chaîne des passeurs. Elle concerne ceux qui subissent ce climat d'intimidation, qui ne se justifie pas par la nécessité de lutter contre les réseaux de l'immigration clandestine, les milliers de gens qui agissent pour des r...
C'est aussi un texte qui se veut de transparence entre l'application de la loi et la pratique de cette application sur l'ensemble du territoire national. C'est, enfin, un texte qui est la jonction exacte entre ce que vous appelez, monsieur le ministre, « les droits-de-l'hommistes et les sécuritaires ».
En effet, quand on le regarde de près et avec objectivité, il ne pose à aucun moment le problème de l'angélisme, qui n'est pas de notre ressort. Ce qui est de notre ressort, c'est de rassurer ces milliers de gens qui, avec beaucoup de coeur, donnent beaucoup de leur temps à ceux qui arrivent en nombre dans l'espoir d'une vie meilleure mais dan...
Imaginons un instant que ces gens démissionnent et cessent d'agir avec cette compassion. Comment l'État pourra-t-il maintenir le relatif calme social en dépit du déferlement de migrants que, jusqu'à présent, personne n'a empêché de venir ?