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1350 interventions trouvées.

Si Mme Albanel a décidé, avec courage, de s'y attaquer, si le Président de la République a tracé cette route, quelle en est la raison, à votre avis ?

La crise que traverse le monde souligne parfois cruellement qu'il n'y a ni rentabilité sans risque, ni risque sans partage du risque. Les banques ont confondu maîtrise et externalisation du risque ; les États ont confondu règles prudentielles et règles comptables ; les citoyens ont confondu performance passée et rendement futur. C'est pour évi...

Pendant que le parti socialiste réunit la commission de récolement c'est sans doute parce que ce débat n'est pas à la hauteur de ses espérances que M. Jean-Marc Ayrault nous a quittés

C'est parce que nous sommes devant une situation qu'il faut avoir le courage d'affronter en face. Dans notre pays, le modèle, c'est la gratuité des chaînes. Mais, dans ce cas, il y a bien quelqu'un qui paie : c'est la publicité. Or le même volume de publicité, qui finançait cinq chaînes, en finance aujourd'hui 200. Il ne faut pas raconter n'imp...

Écoutez, par exemple, Pascal Regard vous expliquer, avec tant de talent que certains députés de l'opposition ont repris ses propositions par voie d'amendement, que le financement de la création, c'est évidemment le service public, mais aussi les chaînes privées.

Les ateliers du changement traduisent, le débat d'idées, là où la commission de récolement traduit le combat interne : d'une certaine manière, il y a deux façons de faire de la politique, celle de l'UMP et celle du parti socialiste.

Il faut défendre, il faut sauver le service public pour plusieurs raisons, notamment parce qu'il est le garant du pluralisme. L'information passe aujourd'hui surtout par le service public parce que c'est là que se trouvent les lieux de débat. Je regrette qu'à TF1, M6 et dans beaucoup d'autres chaînes privées, il n'y ait pas aujourd'hui de débat...

À l'UMP, nous mettons en place les ateliers pour réfléchir à une refondation du capitalisme, voulue par le président de la République. Certains y voient une refondation, d'autres le retour aux fondamentaux ; mais l'essentiel est que chacun soit conscient qu'il nous faut réformer en profondeur.

Ces deux textes recouvrent en réalité trois réformes. La première porte sur le financement. Dieu sait si on a entendu des âneries à ce sujet, toujours le même disque d'ailleurs, sans jamais que ses opposants se posent la vraie question : si on avait laissé la situation actuelle perdurer sans rien changer, le service public aurait-il été en mes...

d'avoir le courage de rechercher des solutions pour ne pas laisser la télévision publique prisonnière d'une érosion publicitaire en voie de devenir une chute, car, après, c'est la création qui aurait morflé, c'est l'info qui aurait manqué de financements. Il fallait donc prendre la décision de réformer le mode de financement. De même, j'enten...

praticiens, politiques MM. Yves Censi, Bernard Carayon, Gilles Carrez, Philippe Marini ou Patrick Ollier y ont participé.

Vous savez parfaitement que l'État s'est engagé à compenser, à l'euro près, les 450 millions de pertes de recettes publicitaires. Il y a une signature de l'État. Pourquoi faire croire le contraire ? Cela me rappelle le pataquès que vous avez fait à propos de la soi-disant retraite à soixante-dix ans : quand a été votée une réforme qui maintient...

Nous avons aussi voulu que ce travail soit transparent : il est diffusé en direct sur internet. Nous avons ainsi dégagé trente-sept pistes de réflexion. Un certain nombre de ministres sont venus nous écouter je salue Hervé Novelli, non seulement pour son action avant ces ateliers, mais aussi parce qu'il a su se saisir de quelques-unes des idé...

Vous êtes en train de refaire la même chose lorsque vous prétendez que les comptes n'y sont pas, alors que vous savez parfaitement que l'argent sera au rendez-vous. La seconde réforme porte sur la gouvernance. On a droit à un concert de bêtises sur le thème : « C'est une régression, c'est le retour de l'ORTF » alors que vous savez bien, parce ...

Bien que sûr que cela change tout, monsieur Mathus. De plus, nous pourrons nous prononcer démocratiquement, dans notre hémicycle, sur cette nomination. Jusque-là, la pratique était différente et vous en étiez des spécialistes : de grandes leçons données sur le devant de la scène et, dans les couloirs, les tripatouillages pour nommer les uns ou ...

qui réuniront des experts, des parlementaires et des praticiens. Vous y êtes tous les bienvenus, d'ailleurs j'ai compris que ce serait difficile à mettre en oeuvre au parti socialiste !

Maintenant, les choses vont devenir transparentes : cela se passera devant les Français, il y aura des débats publics et l'opposition pourra prendre la parole.

Notre objectif est évidemment de transformer ce travail en réformes concrètes : ainsi, le télétravail peut, selon nous, constituer une alternative aux délocalisations c'est la piste n° 26, et notre collègue M. Jean-Pierre Decool présentera bientôt à ce sujet une proposition de loi. Avec d'autres parlementaires un sénateur, un député europée...

Voilà ce que je voulais apporter dans ce débat, monsieur le président, car, malheureusement, on assiste à une discussion pleine de contrevérités accumulées par les uns et par les autres en permanence, ce qui suscite une vraie inquiétude. Je ne nie pas, moi, l'inquiétude des personnels de France télévisions. À force d'entendre toutes ces contrev...