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C'est du bon sens !
Très bien !
C'est le prix de ma voiture ! (Rires .)
Ce n'est pas vrai !
Absolument !
Ayant été rapporteur spécial des crédits de la ville dans le PLF, je puis répondre à nos collègues socialistes que l'on est en effet en droit de s'interroger sur les capacités qu'aura l'ANRU à se financer dans quelques années. Tous les spécialistes savent que les programmes concernés se développent, de sorte qu'un surcroît de financement sera n...
C'est en effet une excellente radio !
La démagogie n'est jamais loin avec les socialistes !
Il n'y en a qu'un qui ne compte pas !
C'est totalement faux !
Comme s'il y avait un nombre limité d'heures !
Les plus brillants sont là ! (Sourires.)
En effet !
Quel rapport avec la crise ?
Tout cela est très original ! C'est très marxiste !
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le président de la commission des finances, mes chers collègues, je ne suis pas sûr que le groupe socialiste ait eu réellement intérêt à porter ce débat dans cet hémicycle.
En tout cas, les propos que nous avons entendus ce matin émanant de ses représentants ne sont pas de nature à enrichir le débat public et à faire avancer les solutions. On peut ironiser sur les problèmes que rencontre le parti socialiste avec la simple arithmétique. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Mais, en matière économique, vous ...
C'est ce que vous n'avez pas fait, ni à aucun autre moment d'ailleurs. Votre propos est resté politicien, franco-français, cantonné, jamais à la hauteur de la situation.
Quand nous regardons ce qui s'est produit depuis quelques semaines, quelques mois, nous constatons que le problème est américain et qu'une solution peut être européenne. Le problème est incontestablement américain. Première cause : la politique monétaire américaine a été laxiste et a provoqué des excès de liquidités,
des taux d'intérêt excessivement bas, entraînant une recherche de rendement, en négligeant la sécurité financière. Cette politique monétaire américaine est certainement une des causes de la crise que nous connaissons. Deuxième grande cause : une défaillance de la supervision bancaire et assurantielle aux États-Unis. On peut l'illustrer très ...