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...u aurait eu cinquante-deux ans le 3 juillet. Le sort, la maladie en ont décidé autrement, rompant le fil d'une existence généreusement tournée vers les autres. Confrontés à une pareille injustice, il ne nous reste d'autre ressource que de saluer le civisme et l'altruisme d'une collègue enlevée trop tôt, et trop vite, à notre affection. Je parle d'affection, car Françoise Olivier-Coupeau faisait partie de ces personnes radieuses qui, où qu'elles se trouvent, ont le don de susciter la sympathie autour d'elles. Par-delà toutes les divergences en effet, celles et ceux qui ont approché Françoise Olivier-Coupeau ont été frappés par sa vitalité, son charisme, sa force de conviction, et par l'enthousiasme communicatif avec lequel notre collègue défendait ses idées, sans jamais se départir de cet es...