Mesdames, Messieurs, La libération de cinq infirmières bulgares et d'un médecin palestinien naturalisé bulgare, au terme de huit années atroces de détention en Libye, a été célébrée avec reconnaissance et soulagement dans toute l'Europe.
Les Français peuvent être légitimement fiers que leur pays y ait contribué de manière décisive.
Si les négociations avec les autorités libyennes avaient été engagées grâce aux efforts patients des diplomaties française et européennes, c'est en effet l'engagement personnel du Président de la République qui a permis, le 24 juillet 2007, cet heureux dénouement, dont se sont réjouis unanimement les parlementaires.
L'enthousiasme a toutefois cédé le pas à certaines interrogations et les conditions de cette libération, menée avec la discrétion qui sied à ce type d'opérations toujours délicates, ont suscité un début de polémique.
Le lendemain de leur libération, le chef de l'Etat se trouvait en visite officielle à...
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