Mesdames, Messieurs, Le pays des droits de l'Homme ne peut que s'émouvoir lorsque des innocents sont détenus injustement et dans des conditions très difficiles par la Justice d'un pays dont ils étaient venus aider les citoyens malades, alors même que l'un des fils du chef de l'Etat reconnaît qu'ils n'ont été que des boucs émissaires.
L'engagement personnel du Président de la République pour obtenir leur libération, et son succès, doivent être salués.
Votre Rapporteur rappelle que la commission des affaires étrangères avait témoigné de sa solidarité avec les infirmières et le médecin détenus, à l'occasion de l'examen, le 6 février dernier, du projet de loi autorisant l'approbation d'une convention fiscale franco-libyenne (1) : tout en adoptant le projet de loi, la commission avait demandé au Gouvernement de ne pas l'inscrire à l'ordre du jour des travaux de l'Assemblée tant que la libération des infirmières bulgares et du médecin palestinien n'aurait pas...
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