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Absolument !
Monsieur le président, puis-je interroger l'auteur de l'amendement ?
Non, monsieur le président. Ce ne sera pas non plus du comique de répétition. J'ai deux questions à vous poser, monsieur Vigier. Premièrement, êtes-vous favorable à la médecine libérale ? (Sourires.)
Ma deuxième question est originale, monsieur Vigier. Avez-vous lu l'article suivant de la proposition de loi, autrement dit l'article 3 bis AA ? Je le rappelle à l'ensemble de nos collègues, cet article a été voté en commission. Quel est l'effet concret de cet article, qu'à l'évidence, vous ne pourrez pas voter tout à l'heure, car il vise à vid...
C'est le début de la sagesse !
Peut-on parler de « marché » de la santé ?
Là, nous sommes d'accord !
Monsieur le président, je demande la parole
Je demande la parole, monsieur le président !
Monsieur le président, je ne veux ni faire un rappel au règlement ni remettre en cause les prérogatives de la présidence. Vous l'avez rappelé à plusieurs reprises dans ce débat, nous ne sommes pas dans la procédure du temps programmé, ce qui nous conduit effectivement à respecter un certain nombre d'obligations. Néanmoins, nous discutons actuel...
Monsieur Garrigue, le débat de ce soir n'oppose pas les libéraux et les régulateurs, mais l'efficacité et l'impuissance et vous l'avez bien compris !
Cet amendement, comme d'autres, a pour objectif de garantir l'existence d'un filet de sécurité pour l'accès aux soins. Les procédures d'autorisation d'équipements lourds visent à réguler et à évaluer leur installation sur le territoire afin de permettre une réelle accessibilité aux soins. Encore faut-il, bien sûr, et nous avons déjà eu ce débat...
Je vous en prie !
C'est du sophisme, monsieur le ministre. Vous faites mieux, d'habitude ! (L'amendement n° 143 n'est pas adopté.)
Le débat qui a eu lieu sur l'amendement précédent laisse tout de même un dangereux goût d'inachevé. Nous sommes bien dans un débat entre les adeptes de la régulation, dont nous sommes, et des comportements ultralibéraux que vous cautionnez totalement.
Dans la bouche du ministre tout à l'heure, c'était le cas, et la rapporteure a emprunté le même chemin. Monsieur le ministre, la question des dépassements d'honoraires n'est pas une invention des socialistes, des centristes ou de quiconque. Aujourd'hui, il y a une disparité totale dans les tarifications. On peut s'y attaquer résolument, et l'o...
Nous avons à de multiples reprises, lors de la discussion des PLFSS, défendu la suppression radicale des dépassements d'honoraires. Nous sommes donc très constants dans nos positions. Nous avons aussi très souvent défendu, avec la même constance, la revalorisation du secteur 1, mais avec une contrepartie. Un euro pour tout le monde, dans n'imp...
Il y a des moments de grâce dans un débat, mais en l'occurrence, ce n'est pas le cas, parce que répondre que, sur des questions aussi essentielles, on renvoie tout à la convention et que la loi n'a pas son mot à dire, ce n'est pas à la hauteur de notre République. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.) (L'amendement n° 146 re...
Il n'y a plus de solidarité interrégionale !