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Dites-le à M. Copé, qui n'est pas là !
Vous êtes ridicule !
C'est vous le problème, arrogant personnage !
D'ailleurs, vous n'y êtes jamais !
Oui, monsieur le président.
Non, je le retire également, madame la présidente.
À nos yeux, cet article possède une réelle importance, parce qu'il permettra de juger de l'ambition réelle du Gouvernement en ce qui concerne la couverture à très haut débit du territoire national. Depuis 2002 en effet, l'État n'a pas déboursé un euro pour le déploiement du haut débit en France ; or, du fait de l'avancée technologique que const...
Le secrétaire d'État utilise l'argument de la présidence française pour nous faire rengainer cet amendement.« Circulez, y a rien à voir », semble-t-il nous dire. Nous ne sommes pas prêts à obtempérer, mais peut-être aurions-nous une autre position si nous savions dans quel état d'esprit M. Besson souhaite engager les discussions avec Bruxelles....
Ce ne sera jamais que le quinzième Conseil !
C'est plus que Total !
Il faudrait essayer quand même !
Bien sûr !
M. Besson réécrit l'histoire à défaut de la faire.
C'est très gênant !
Via l'AFP !
Cela s'appelle la convergence.
Démontrez-le alors !
Nous voterons cet amendement, mais pas seulement pour le caractère normatif et volontariste du dispositif proposé. Notons que si le Gouvernement s'en remet à la sagesse de l'Assemblée, c'est que l'amendement revêt un caractère un peu platonique. Je vois que Mme Vautrin m'approuve.
L'exposé des motifs mérite notre intérêt et notre approbation. On peut constater, depuis le début de l'examen du texte, que le Gouvernement s'intéresse davantage au très haut débit des villes qu'au très haut débit des champs. Or, monsieur le rapporteur, si l'on en juge par le coût de l'équipement en fibres en dehors des grandes agglomérations, ...
Je regrette que le Gouvernement se livre à de grandes déclarations de volontarisme et se prive de la possibilité d'agir sans discuter sur le fond des amendements provenant de tous les côtés de notre hémicycle. Ils auraient permis une plus grande rapidité. Le déploiement en fibre optique, monsieur le secrétaire d'État, c'est un peu comme la bic...