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On peut être très compétent sans être indépendant !
Dites-le à Mme Lagarde !
Des noms !
C'est la République des cocktails !
Jamais !
Et de ceux qui vont le voter !
Vous devriez respirer un bon coup !
Très bien !
Quelle erreur historique !
Ce n'est pas si mauvais que cela !
C'est dérisoire !
À l'origine de ce projet, madame la ministre, nous aurions aimé discerner une volonté éclairée d'aider aux mutations nécessaires de l'audiovisuel français, nous aurions apprécié une recherche de nouveaux développements, pour le public comme pour le privé, pour les télévisions comme pour les nouveaux médias. Au sein du groupe socialiste, en effe...
Cette commission a servi de paravent au texte définitif, tricoté et détricoté par des amendements snipers, nouvelle catégorie de frappe chirurgicale sur la télé publique, qui vit en quelque sorte le martyre de saint Sébastien. Dans Le Monde d'hier, du reste, huit membres éminents de la Commission Copé viennent de crier à la trahison tant ses tr...
Merci, monsieur Roy. Deuxième faute, l'imprévision devant les chocs qui transforment l'économie de l'audiovisuel : l'arrivée des opérateurs de télécommunications avec leur force financière, la TNT, le passage au numérique mais, peut-être plus radicalement encore, le paysage des médias dans la civilisation numérique, la place croissante de l'In...
La troisième faute, je la vois dans la déstabilisation tous azimuts des médias : dans l'assèchement de la création, l'instabilité pour les annonceurs, l'inquiétude des radios Le personnel de France Télévisions était aujourd'hui dans la rue. Nous y étions, à Paris, en région, outre-mer, Martine Aubry y était, (« Ah ! » sur les bancs du groupe U...
pour réagir et résister à la déstabilisation des équipes de France Télévisions.
Pour toutes ces raisons, nous allons pied à pied dénoncer votre aveuglement, article après article, amendement après amendement. N'attendez des socialistes aucune concession sur ce texte. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Et je crains que nous n'ayons pas fini d'en entendre, monsieur Lefebvre !