2911 interventions trouvées.
Les héros sont fatigués ! Nous attendions un Malraux : il ne s'est pas levé.
Son attitude est inexcusable !
C'est la Bastille, les lettres de cachet !
Vraiment ?
Non, incroyable !
Il faut absolument l'auditionner !
Il s'agissait d'une intervention de cadrage, madame la présidente !
Il faut en effet préciser, à l'intention de ceux de nos collègues du groupe UMP qui nous ont donné tout à l'heure des leçons de droit parlementaire et qui sont surpris que nous disposions de cinq minutes pour intervenir sur l'article, qu'il faut entendre : cinq minutes par orateur. D'après l'exposé des motifs du projet de loi, « les sociétés n...
Car, au fond, c'est sur l'avenir de l'audiovisuel public que nous nous interrogeons. La loi que vous défendez, madame la ministre, et qui répond aux souhaits des principales chaînes privées, ne paraît pas inspirée par une vision moderne, anticipatrice, de la télévision publique.
Derrière la question des filiales, dont traite l'article 3, se profile celle du financement de la mutation du service public. Comment, dans les années qui viennent, pourra-t-on moderniser les chaînes publiques ? Faut-il vraiment filialiser les activités nouvelles ? Qu'est devenue l'ambition du média global ? M. Copé avait découvert ce nouveau j...
D'ailleurs, le père du média global vient de faire son apparition dans l'hémicycle !
Excellent rapport !
C'est un maximum ! Mais c'est aussi un droit !
Créateur de taxes !
Cela s'appelle les droits du Parlement !
Ils veulent menotter les journalistes !
Et le peul ?
Monsieur Soisson, rien dans mon propos ne permet de soutenir qu'il y a eu mise en cause personnelle. (« Si ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.) Nous étions dans le cadre d'un débat public normal entre majorité et opposition, débat nécessaire dans lequel, je le répète, je ne vois rien qui puisse donner lieu à des excuses.
En revanche, monsieur Soisson, il y a un lien très étroit entre les déclarations locales que j'évoquais et le débat que nous avons. Vous avez terminé votre article dans L'Yonne républicaine du 29 novembre en soulignant que l'intérêt généralexigeait la sobriété fiscale.
Nous pourrions souscrire à ce postulat, mais le problème et c'est pour cela que j'ai parlé, monsieur Soisson, de double langage , c'est que vous vous apprêtez, avec vos collègues de la majorité