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Venez avec moi à Yaoundé, madame Ockrent, vous nous aiderez à user de la francophilie pour faire des francophones !
Globalement, le nombre de locuteurs français ne change pas : s'il diminue dans certaines zones traditionnellement francophones, il augmente dans d'autres. L'année dernière, la réunion de la commission politique de l'Assemblée parlementaire de la francophonie s'est ainsi tenue au Laos. Il est en effet indispensable de réactiver la pratique de no...
Beaucoup d'établissements français possèdent des sections internationales, et pas seulement dans les régions frontalières. Quant à la qualité de l'enseignement de l'anglais en France, sans vouloir offenser quiconque, elle n'est ni pire ni meilleure que celle du français en Angleterre ou en Allemagne Si l'Union européenne ne devait s'occuper qu...
On ne peut pas généraliser. Il y a de bons professeurs locaux comme il y a de mauvais professeurs détachés ! Tout est question d'évaluation, de suivi et de formation au niveau local. Nous pouvons parfaitement participer à la formation des enseignants et formateurs locaux.
En Alsace, nous avons une longue tradition de coopération décentralisée, avec, notamment, l'Institut régional de coopération-développement (IRCOD). Cela fait bien quarante ans lorsque le projet Hévécam a été lancé au Cameroun que nous avons compris qu'il fallait former les personnes, préalablement à toute action. Pourriez-vous nous indiquer...
Si je vous ai demandé comment les partenariats se mettaient en place, c'est parce que je pense qu'ils sont plus pertinents lorsqu'ils naissent de relations directes, de liens déjà établis. Il est important de savoir où nous agissons, et pourquoi. C'est sur l'idée de trois femmes marocaines rencontrées au centre socio-culturel de ma circonscript...
Je souhaite souligner la nécessité d'une plus grande souplesse de la Commission européenne à l'égard des aides à l'aéroport de Strasbourg car celles-ci sont la condition du maintien du statut de capitale européenne de la ville. Pierre Forgues. Je souhaiterais faire part de quelques réflexions. Quand on dit que les passagers qui prennent l'avio...
Lorsque la desserte Strasbourg a été envisagée, il y a eu un contentieux, une décision défavorable du tribunal administratif et donc l'opérateur aérien est allé de l'autre côté de la frontière, sur Baden-Baden. Nous avons connu le même problème avec DHL. Certaines personnes qui avaient acquis du terrain à bas prix ont ensuite vu augmenter le pr...
Comme vous, je considère que le noeud gordien est la question des personnels. Outre que la qualification n'est pas toujours forcément liée au statut, l'association de personnes locales me paraît être un bon moyen pour promouvoir le rayonnement de la France et du français dans le monde. Certes, le verrou des 50 % existe, mais quelles recommandat...
Certains instituts de premier cycle ne pourraient-ils être implantés ici ou là lorsque le volume des futurs étudiants est suffisant ?
Est-ce que votre position apparaît dans le rapport ?
Avez-vous été conduit à faire une observation sur les « facilités » offertes aux étudiants étrangers pour venir étudier en France ?
Qu'en est-il du turn over du personnel ?
L'autonomie, tout comme la tutelle, c'est bien jusqu'à une certaine limite. Pour ma part, je crois au partenariat entre opérateurs. Quant à la marque, ou la labellisation des personnels enseignants, ces questions sont plutôt du ressort de l'Éducation nationale. Votre mission ne concernait que l'AEFE mais vous avez dû parfois observer, sinon de...
Dans l'ensemble, vous êtes assez optimiste concernant le système.
L'AEFE a, par ailleurs, une mission de coopération avec les systèmes éducatifs locaux, ce qui pourrait contribuer au rayonnement de la France et répondre aux préoccupations actuelles vis-à-vis des enseignants locaux. Pour réussir une telle mission, ne lui faudrait-il pas entrer dans un circuit de formation des formateurs ?
Il faut repenser les partenariats !
L'Agence s'occupe entièrement du recrutement du personnel. Vous parliez de « marque » et moi de « label ». Encore une fois, c'est l'Éducation nationale qui devrait avoir le dernier mot en matière de certification du système éducatif et de coopération.
Les pays voisins, qui n'ont certes pas les mêmes problèmes en matière de statuts ou de détachement que vous évoquiez, ont un esprit pratique : un enseignant de Munich pourra aller enseigner à Tombouctou, et vice-versa, pendant un an, sans que cela ne coûte rien, à part un billet d'avion. Et chacun en retire une expérience très formatrice.
Sans compter que l'on n'est pas obligatoirement propriétaire du foncier quand on est propriétaire du bâtiment.