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À petite vitesse !
C'est la moindre des choses ! Il n'aurait plus manqué que cela !
Vous feriez mieux de lui demander que l'ONAC soit pérennisée une bonne fois pour toutes !
Non, comme disait M. Copé, c'est « à l'euro près » !
Vous aviez promis 48 !
Combien l'ont touchée ?
On était déjà passé de 90 à 115 ! Vous oubliez de le dire !
La position du ministre est la même que la vôtre !
Hou !
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, messieurs les rapporteurs, mes chers collègues
comme chaque année en cette veille de 11 novembre, nous avons à examiner le budget des anciens combattants, budget de reconnaissance, budget de mémoire.
Malheureusement, cette année encore, c'est un budget de désillusion.
C'est un budget en diminution, donc un budget de déception et un budget de renoncement.
En effet, au moment où je parle, aucune mesure nouvelle n'est financée.
Monsieur le secrétaire d'État, vous héritez d'une tâche difficile parce que les cinq dernières années furent caractérisées par un véritable immobilisme, si ce n'est un recul. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Vous êtes auvergnat comme moi, vous savez qu'un sou est un sou et qu'un euro est un euro. (...
Il nous aurait semblé naturel de maintenir le budget des anciens combattants à son niveau de l'an passé. Cela nous aurait permis d'utiliser 58 à 60 millions pour apporter une réponse aux revendications prioritaires, et légitimes, des anciens combattants.
Monsieur le secrétaire d'État, le premier sujet que je voudrais aborder est véritablement douloureux. Je siège à la commission sociale de l'ONAC de mon département et, comme tout le monde ici, j'ai pu constater la situation de détresse dans laquelle se trouvent un grand nombre de veuves d'anciens combattants.
Qu'elles soient issues du milieu rural dont chacun connaît le montant homéopathique des retraites agricoles , du monde artisanal, où les retraites ne sont pas meilleures, ou du monde ouvrier, dont les maris ont gagné toute leur vie le SMIC, avec une pension de reversion à 52 %, elles ne parviennent pas à joindre les deux bouts, comme on dit ...
Monsieur le secrétaire d'État, j'avais dénoncé l'an dernier la « pseudo allocation différentielle » qui avait été mise en place. Comme je l'avais indiqué, il ne s'agissait pas d'une véritable allocation différentielle, mais simplement d'un abondement des crédits sociaux de l'ONAC. J'avais dénoncé en son temps le caractère factice et virtuel de ...
Zéro dans le Puy-de-Dôme ! Cette situation ne peut vraiment pas nous satisfaire.