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Les amendements de Jean-Pierre Soisson pour ce dossier

13 interventions trouvées.

Je voudrais interroger le Gouvernement sur le financement des chambres de commerce et d'industrie. Le rejet de l'amendement de M. Marc Laffineur pose en effet problème. Je ne comprends pas bien la logique du système. Vous avez, madame la ministre, avec raison, supprimé pour les entreprises la fiscalité reposant sur l'investissement c'est la s...

C'est en tout cas ce qu'il me semble avoir compris de la longue discussion d'hier. C'est comme si, dans une des belles églises de ma ville d'Auxerre, on détruisait tout sauf le pilier central de la crypte pour qu'il diffuse de la lumière sur cette pauvre chambre de commerce d'Auxerre que mon père a présidée pendant dix ou quinze ans. Au fond, ...

Le MEDEF joue à contretemps et vous en avez peur. Les présidents de chambre de commerce sont là, humblement, ils viennent vous trouver presque un genou à terre et vous leur accordez pour 2010 un RMI sans aucune certitude pour les années suivantes. Permettez-moi de vous dire que dans la structure intellectuelle qui fonde votre raisonnement, je n...

Je voudrais dire à Jérôme Cahuzac pour lequel j'ai beaucoup de respect car il a un grand talent

Et lorsqu'il veut dicter sa conduite à la majorité, il franchit la ligne jaune. Qu'il parle pour lui, pour Emmanuelli, Brard et consorts, parfait ! Mais il n'a pas pouvoir de parler pour moi. Alors, qu'il cesse !

La solution, proposée par le rapporteur général, consiste à voter l'article 3 tel quel. Point à la ligne et nous verrons ensuite lors de la réforme des chambres de commerce ce que nous ferons les uns et les autres.

C'est une conclusion qui vaut pour moi, cher Jérôme Cahuzac, mais sûrement pas pour vous. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Aucune cohérence ! Et les amendements et sous-amendements que nous examinons sont dépourvus de toute simplicité. Chacun ici défend les professions avec les représentants desquelles il entretient quelque relation. Or les professions libérales méritent autant de considération que les autres.

Au point d'enfoncement des finances publiques auquel nous sommes parvenus, je trouve la solution proposée par M. de Courson raisonnable : on gardera un demi-doigt au-dessus de l'eau ; de toute façon, la tête des finances publiques est engloutie, et pour des années et des années !

Aucune cohérence ! Et les amendements et sous-amendements que nous examinons sont dépourvus de toute simplicité. Chacun ici défend les professions avec les représentants desquelles il entretient quelque relation. Or les professions libérales méritent autant de considération que les autres.

Au point d'enfoncement des finances publiques auquel nous sommes parvenus, je trouve la solution proposée par M. de Courson raisonnable : on gardera un demi-doigt au-dessus de l'eau ; de toute façon, la tête des finances publiques est engloutie, et pour des années et des années !

Alors, faisons ce geste ! Que nous coûte-t-il : 50 voire 80 millions d'euros ? Les enfants ! (Rires.) Au point où nous en sommes, alors que, mois après mois, nous ajoutons allègrement plusieurs milliards aux déficits, faisons au moins en sorte que les professions libérales, dans ce naufrage

Alors, faisons ce geste ! Que nous coûte-t-il : 50 voire 80 millions d'euros ? Les enfants ! (Rires.) Au point où nous en sommes, alors que, mois après mois, nous ajoutons allègrement plusieurs milliards aux déficits, faisons au moins en sorte que les professions libérales, dans ce naufrage