L'idée selon laquelle n'importe quel promoteur pourrait proposer sur n'importe quel site le développement d'un projet quelconque – notamment en mer – joue contre les énergies renouvelables.
Ne vous laissez pas intoxiquer par des cartes proposées par des groupes internationaux qui font du lobbying – comme on dit si joliment aujourd'hui – auprès des élus. Nous mesurons l'importance des décisions en la matière. Elles relèvent indéniablement de la responsabilité de l'État qui les prendra dans la concertation avec les élus locaux et dans un processus strictement encadré.
Dans ces conditions, d'ici au mois de juin ou d'octobre, je vous demande que nous puissions conserver une certaine souplesse quant aux zones propices à ces implantations. Nous pourrons ainsi en reparler. De toute façon, le Parlement aura le dernier mot car il reste souverain. Aujourd'hui, le Gouvernement n'est donc pas favorable aux amendements.