M. Jean-Claude Perez attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les éventuelles difficultés psychologiques que rencontrent les femmes qui ont recours à interruption volontaire de grossesse. En effet, il ressort du rapport de l'inspection générale des affaires sociales sur l'IVG, du 02 février 2010, qu'il existe peu de données concernant le retentissement psychologique de l'IVG et qu'au-delà des seuls aspects physiologiques, elle demeure un événement souvent difficile à vivre sur le plan psychologique. Ces observations mises en avant manquent d'un éclairage objectif et surtout scientifique. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer si elle entend engager une étude épidémiologique sur ce sujet particulièrement important.
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