M. Christian Vanneste interroge M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur une enquête sociologique. Il s'agit d'une première de ce genre réalisée sur le territoire de Paris intra muros puisqu'elle s'intéresse aux rapports garçons-filles dans les « quartiers populaires » parisiens. D'après cette sociologue, "à Paris, contrairement à la banlieue, les frontières des cités sont plus friables, les quartiers populaires sont moins ghettoïsés. [...] Pour les garçons, si cette mobilité accrue est aussi une chance, en ce qu'elle leur permet de plus naviguer dans des univers sociaux différents, d'accéder plus facilement que les garçons vivant en banlieue à certains espaces de loisirs, elle est aussi régulièrement entravée par le contrôle policier et plus largement par le racisme ordinaire des populations blanches" (source : site de Paris.fr). Il aimerait connaître son avis sur cette étude et plus particulièrement sur cette affirmation selon laquelle les "populations blanches" (sic) feraient preuve de "racisme ordinaire" (re-sic).
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