M. Patrick Roy attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur la décision prise de demander aux préfectures ne pas communiquer aux médias les bilans relatifs aux actes délictueux perpétrés durant les nuits des 13 au 14 et des 14 au 15 juillet 2009. Il l'interroge sur les raisons qui l'ont conduit à procéder ainsi, sachant qu'une telle initiative prive nos concitoyens de leur droit à l'information, entrave les journalistes dans l'exercice de leur profession et alimente les rumeurs les plus folles sur le nombre exact de voitures brûlées durant ces deux nuits.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette question.