M. Jean-Luc Préel attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la prévention. Aujourd'hui, le dépistage du cancer de la prostate est effectué par un toucher rectal et par le dosage sanguin du PSA (prostatic specific antigen), protéine secrétée par les cellules normales de la prostate et par les cellules cancéreuses. Comme le préconisent la Cour des comptes, la MECSS et l'Académie de médecine, le PSA en dépistage au-delà de 75 ans devrait être supprimé. En effet, il entraîne plus d'inconvénients en termes de mortalité et de morbidité que d'avantages. C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer s'il envisage le déremboursement du PSA en dépistage au-delà de 75 ans.
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