M. Jean-Claude Flory attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les risques infectieux au regard des hépatites B et C encourus par les clients des pédicures et manucures. Or il s'avère que certaines pratiques esthétiques sont contraintes par la loi en matière d'hygiène et de salubrité, comme les salons de coiffure, les centres de tatouage ou de perçage, le maquillage permanent ou les UV, aucune norme n'encadre les professionnels de la beauté des pieds et des mains. Aussi il lui demande de lui indiquer s'il approuverait une extension des mesures d'hygiène existant pour les dispositifs médicaux en contact avec des muqueuses ou la peau lésée superficiellement (lavage et traitement bactéricide, fongicide et virucide du matériel).
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