M. Éric Straumann attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur les revendications des masseurs-kinésithérapeutes (MK). Au nombre de 70 000 dans notre pays, les MK côtoient, dans leurs cabinets, toutes les couches de la société avec des relations privilégiées qui leur permettent d'exposer l'avenir qui est proposé à la kinésithérapie française, et que certains d'entre eux voient assez sombre. Ils souhaitent rappeler que leurs revendications concernent une revalorisation tarifaire compte tenu de l'augmentation des charges qu'ils estiment sans précédent, et ayant entraîné, selon eux, une asphyxie de leur profession, un tarif unique, une reconnaissance professionnelle (avec autonomie et consultation en première intention), une protection de leur diplôme d'État contre les illégaux, enfin une amélioration du cursus des étudiants en MK avec un diplôme « master » validant leur formation. Aussi lui demande-t-il ce qu'elle peut proposer concernant ces revendications.
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