M. Élie Aboud attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur les préoccupations des masseurs-kinésithérapeutes. En effet, depuis des années, la rémunération de l'acte stagne au détriment du pouvoir d'achat et des conditions de travail des professionnels. Ainsi, la valeur d'une séance de masso-kinésithérapie oblige le plus souvent à accueillir plusieurs patients à la fois. Il convient, par conséquent, de redéfinir les grands axes de progression de cette profession de santé au regard de nouvelles exigences. Au delà de la nécessaire revalorisation tarifaire, il convient de revoir parallèlement la formation à travers un cursus menant probablement à un diplôme de master. La meilleure reconnaissance de la profession oblige à s'interroger sur la possibilité de développer dans certains cas la consultation en première intention. Sur tous ces points, il lui demande de bien vouloir lui préciser l'état de sa réflexion.
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