M. Marcel Rogemont interroge M. le Premier ministre sur les dispositions administratives qui consistent à cocher une case « Mademoiselle », « Madame » ou « veuve », sans aucune valeur légale. Cette distinction administrative, intrusive et non obligatoire, perdure dans les formulaires administratifs. Si certaines villes, notamment Rennes dès 2008 ou Cesson-Sévigné plus récemment, ont décidé de retirer ces précisions discriminatoires de leurs formulaires, il n'en demeure pas moins que, dans la grande majorité des cas, la discrimination subsiste. Il lui transmet sparément les termes d'une pétition dont il est le signataire et lui demande quels dispositifs législatifs ou réglementaires contraignants il compte prendre.
Cette question n'a pas encore de réponse.
1 commentaire :
Le 01/02/2012 à 11:59, Françoise SALAÜN a dit :
Cela part peut-être d'une bonne intention, toute fois les hommes et femmes politiques devraient se pencher sur toutes les discriminations dont les femmes sont encore victimes, et qui nous empêchent de nous épanouir , nous les vivons au travail,dans le couple...les hommes Français devraient réussirent à enfin se remettre en question...mais ils restent bloqués, car ils ont peur...Toute ma vie j'ai subi cette attitude de fierté et d'orgueil, qui commet tant d'injustice et de douleurs...Quand , les hommes accepteront de regarder les femmes autrement et aussi de se voir tels qu'ils sont...Nous sommes en 2012
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui