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Notre cabinet est quant à lui plus particulièrement intervenu sur l'évaluation des pôles de compétitivité eux-mêmes.
Il faut, me semble-t-il, dissocier le choix du Gouvernement de continuer à mettre en oeuvre la politique nationale des pôles de compétitivité, qui nous semble globalement bonne, et l'analyse de chacun des pôles, certains tirant mieux que d'autres leur épingle du jeu. La décision du Gouvernement ne nous a pas posé de difficulté pour l'évaluation de chaque pôle ni pour leur classement.
...r remédier au faible niveau de recherche et développement des entreprises privées françaises au regard de la moyenne européenne. Leur existence a d'abord pour objet d'accroître la recherche et le développement, ainsi que l'innovation, dans les entreprises, et de favoriser tant les partenariats public-privé que les partenariats privé-privé. La traduction de cet effort d'innovation en emplois et en compétitivité est une étape ultérieure. L'impact direct des pôles sur l'emploi me semble difficile à mesurer. Il faudra peut-être élaborer une méthodologie très fine à cet effet. Aujourd'hui, nous ne sommes pas capables de déterminer combien d'emplois ont été créés directement par les pôles, à part dans les structures associatives qui les dirigent.
Je ne le pense pas. Un conseil d'administration, un bureau, un comité des financeurs et un comité de sélection semblent certes former beaucoup d'instances pour un petit pôle de compétitivité. Cela dit, les pôles font partie des rares organisations disposant d'un financement dédié, en l'occurrence le FUI, qui comporte un processus de labellisation conditionnant la présentation des projets aux financements nationaux. Pour des raisons de transparence et d'éthique, il est important, à nos yeux, qu'un tel type de fonctionnement soit institué. Par ailleurs, entre 3 et 20 personnes, quel es...