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... le problème des gardes d'enfants, des frais et des temps de transport a été abordé et parfois même en raison de la perte d'avantages sociaux comme la couverture maladie universelle. Le RSA, en se préoccupant de l'augmentation de revenus de salariés peu rémunérés, change la donne. Son premier objectif est que personne ne doit perdre de l'argent en reprenant un emploi à temps plein ou à temps partiel. Il présente ainsi un réel atout pour le retour à l'emploi et une motivation du bénéficiaire par une augmentation réelle de ses ressources. Mais venons-en aux expérimentations menées dans les départements et observons les différences entre ces expériences et le dispositif proposé dans le projet de loi. Les expériences ne concernaient que les personnes privées d'emploi et retrouvant une activité...
Il faut rappeler que si le temps partiel est choisi, la raison est souvent liée à l'organisation du travail et non au fait qu'un salarié peut avoir ou non un complément de ressources.
Nombre de très petites entreprises, notamment dans le commerce et l'artisanat on évoque toujours la grande distribution, mais un jour, il n'y aura plus de caissière et le problème sera réglé , dont l'activité ne permet, en dehors du patron, que de salarier une personne à temps partiel, ne peuvent recruter sur ces postes car les candidats possibles bénéficiaires de minima sociaux ne voient aucune amélioration de leur situation en acceptant ce type d'emploi. Faut-il critiquer le RSA au motif qu'il permettra de pourvoir ces postes en assurant un revenu décent aux salariés à temps partiel ? Mais il est d'autres critiques, monsieur le haut-commissaire, qui ne relèvent pas de l'in...
Il faut mettre un terme à certaines fictions sur le temps partiel. Soit la personne a envie de travailler à temps partiel, et c'est son affaire, soit l'entreprise a besoin de ce type d'organisation du travail, et le fait que le salarié gagnera plus ou moins d'argent n'y changera rien. Cela n'a rien à voir !