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Interventions sur "moratoire" de Philippe Tourtelier


4 interventions trouvées.

Le moratoire est le coeur du sujet. Si nous n'en parlions pas, cette réunion se limiterait à une discussion sur le sexe des anges pendant la prise de Constantinople. Il y a tout de même des entreprises qui sont en train de se demander qui elles licencieront en janvier ! Le mieux serait d'abroger le moratoire. Si ce n'est pas possible, on peut faire trois choses. D'abord, les collectivités territoriales ont ...

...F, qui détient la clef de la survie de petites entreprises. Enfin, rappelons que ce sont les PME qui créent des emplois dans ce secteur, pas les grands groupes. Pourquoi l'État laisse-t-il EDF-EN représenter 35 % de la file d'attente ? L'État possède 80 % du capital d'EDF, qui elle-même détient 50 % du capital d'EDF-EN. Par ce biais, il pourrait orienter les choses, gérer la file d'attente, sans moratoire sans compter qu'il détient aussi 30 % de GDF Suez. On se trouve là devant un choix économique : soit on veut favoriser les grands groupes, soit on veut créer de l'emploi en France. Pour créer de l'emploi, il faut s'appuyer sur les PME et, pour cela, il faut lever le moratoire ou au moins l'alléger.

Le moratoire est le coeur du sujet. Si nous n'en parlions pas, cette réunion se limiterait à une discussion sur le sexe des anges pendant la prise de Constantinople. Il y a tout de même des entreprises qui sont en train de se demander qui elles licencieront en janvier ! Le mieux serait d'abroger le moratoire. Si ce n'est pas possible, on peut faire trois choses. D'abord, les collectivités territoriales ont ...

...F, qui détient la clef de la survie de petites entreprises. Enfin, rappelons que ce sont les PME qui créent des emplois dans ce secteur, pas les grands groupes. Pourquoi l'État laisse-t-il EDF-EN représenter 35 % de la file d'attente ? L'État possède 80 % du capital d'EDF, qui elle-même détient 50 % du capital d'EDF-EN. Par ce biais, il pourrait orienter les choses, gérer la file d'attente, sans moratoire sans compter qu'il détient aussi 30 % de GDF Suez. On se trouve là devant un choix économique : soit on veut favoriser les grands groupes, soit on veut créer de l'emploi en France. Pour créer de l'emploi, il faut s'appuyer sur les PME et, pour cela, il faut lever le moratoire ou au moins l'alléger.