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...t de « bricolinettes », on ne vous en saisirait pas. La vérité, c'est qu'aucune de ces associations, aucun de ces groupements de malades ne comprendrait que le sujet général de l'accompagnement de fin de vie puisse ne pas être spécifiquement évoqué. Il y a donc, je crois, une autre raison. Les directeurs d'hôpitaux, les administratifs ne comprennent pas toujours que ce qui ne demande pas de gros équipements, des techniques lourdes ou des médicaments chers puisse compter et nécessiter un investissement financier important.