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Qu'il faille donner une deuxième chance, en les encadrant, à des jeunes qui ont franchi la « ligne jaune » de la délinquance, j'en suis d'accord. Que l'on choisisse un modèle inspiré de l'EPIDe, j'en conviens aussi et je m'en réjouis dans la mesure où cela montre que ce dernier est reconnu. Mais j'ai des réticences sur le fait qu'on fasse assumer par l'EPIDe ce type de public, car celui-ci n'est pas le même que l'actuel, qu'il donne lieu à des objectifs distincts et demande des formateurs aux capacités différentes. L'objectif recherché n'est que partiellement le même : réinsérer par...
Il ne faut pas parler d'EPIDe pour mineurs délinquants. On pourrait en revanche retenir l'appellation d'« EPIJ » pour montrer le rattachement à la justice, quitte à ce qu'il y ait une convention entre ce dernier et les EPIDe. Cela permettrait de répondre aux besoins, tout en préservant la spécificité des structures et en offrant une filière.