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Cet amendement, que j'ai déposé avec François Goulard, a été accepté par la commission des finances. Au préalable, je voudrais dire que je comprends les interrogations sur l'incapacité de l'ANRU à consommer les crédits qui lui sont affectés.
Tout à fait, monsieur le président. Cependant, s'il est clair que nous ne parlons pas ici de crédits non consommés, je voudrais revenir sur un point. Quand à la fin d'un exercice budgétaire comme celui de l'an dernier, l'ANRU se retrouve avec une trésorerie abondante et sollicite des versements supplémentaires, notamment de la part de Caisse des dépôts, il est légitime de s'interroger sur les taux de consommation et les raisons de la trésorerie. Les rapporteurs spéciaux et tous les députés doivent s'intéresser à ce sujet.
Comment pilotez-vous, avec l'ANRU, l'ensemble du programme dont vous avez la charge, s'agissant tant des crédits propres de l'État, même s'ils ne sont pas importants, que des crédits gérés par les opérateurs ? Comment, sur le terrain, les responsables des budgets opérationnels de programme BOP et les préfets peuvent-ils piloter les opérations de l'ANRU ? Si l'ANRU s'est révélée un outil très efficace, les moyens consacrés au ...