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Je comprends l'idée d'un service public mondial de l'environnement et je crois aussi en la force des réunions, même ratées. Ces réunions ont un fort impact, même par leur échec, et permettent une sensibilisation croissante des populations sur la question du climat. Je le constate dans l'intérêt que suscitent les plans climatiques locaux. C'est donc un investissement. Il faut aussi « balayer devant sa porte ». Notre pays a des responsabilités dans ce domaine, avec ses incohérences, par exemple s'agissant des incitations fiscales pour les équipements photovoltaïques, ses retards : au Havre, on parle de captage du CO2 depuis quinze ans. Les industriels mettent moins d'ardeur à investir dans la recherche sur le captage du C...