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S'agissant de la modestie, je fais preuve d'un peu d'humilité, tout de même. Cela étant, ce que propose l'amendement correspond exactement à ce qui est écrit dans l'actuel article L. 42-1 du code des postes et des communications électroniques, qui prévoit ceci : « L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes attribue les autorisations d'utilisation des fréquences radioélectriques dans des conditions objectives, transparentes et non discriminatoires tenant compte des besoins d'aménagement du territoire. » Le projet de loi ne modifie pas ce texte. Le Gouvernement a donc anticipé sur vos très légitimes préoccupations, et doit en être remercié.
Cet amendement paraît difficilement applicable. En effet la bande de fréquences de 790 à 869 MHz, identifiée au plan international comme attribuable aux télécommunications dans le cadre de la réalisation du dividende numérique, constitue le haut de la bande de fréquences dite « en or ». Il n'est pas question aujourd'hui, ni en France, monsieur le secrétaire d'État, ni en Europe, d'attribuer aux télécommunications des fréquences du reste de la bande UHF, qui descend jusqu'à ...