1 intervention trouvée.
Au moment où vous engagez, madame la secrétaire d'État, la révision de la géographie prioritaire, je voudrais vous interroger sur l'incidence de la suppression des zones urbaines sensibles sur les villes petites ou moyennes, qui avaient engagé une politique dynamique de cohésion sociale. Ainsi, ma commune, qui compte 11 000 habitants, risquerait d'être privée d'une dotation annuelle de 200 000 euros, versée au titre des contrats urbains de cohésion sociale, CUCS, et du plan de réussite éducative, PRE.