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...e la culture française. L'administration notamment fiscale a une faible considération à son égard, et nous-mêmes, en tant que législateur, avons tendance à légiférer en ne prenant en compte que les 2 % ou 3 % qui trichent, au risque de paralyser les 97 % restant. En concentrant notre action contre les tricheurs et en laissant les autres tranquilles, nous pourrions contribuer à un réel gain de compétitivité. Enfin, il faudrait que l'administration s'oblige à répondre dans des délais beaucoup plus courts : le temps, c'est de l'argent, et c'est donc aussi un facteur de compétitivité.